Dimanche dernier a eu lieu le deuxième Colloque Entreprendre collectivement à l’image étudiante, colloque d’entreprenariat et de développement collectif qui se déroulait à l’Atrium de l’UQTR. La journée a commencé en milieu d’avant-midi avec un panel sur le positionnement de l’économie sociale sur un campus universitaire. Cette conférence d’environ une heure fut donné par Jason Rivest, étudiant de l’UQTR et président de COOPSCO Trois-Rivières ; Lynn O’Cain, directrice générale au Pôle d’économie sociale Mauricie ; et Francis Prévost, bachelier de l’Université de Montréal en science politique.
La deuxième activité de la journée fut une conférence de M. Étienne St-Jean, Ph.D., titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la carrière entrepreneuriale, ici à l’UQTR. Il a ensuite été suivi par un panel sur l’économie sociale dans une perspective de développement durable qui a été présenté par Martino Vidot, étudiant à la maîtrise en science de la gestion, par Magali Boisvert, bachelière de Langue et études littéraires ainsi qu’étudiante en Technique de la documentation [NDLR : et cheffe de pupitre à votre journal préféré, le Zone Campus — promis, aucun conflit d’intérêt dans la rédaction de cet article] et par Frédéric Chenel, étudiant de premier cycle en Science politique à l’Université Sherbrooke.
La dernière conférence de la journée a été une présentation d’une coopérative de consultants en histoire : Échos, qui a été exposée par Jason Rivest qui en est le président et par David Ferron, bachelier en histoire et présentement à la maîtrise en Études québécoises.
Impact direct et collectivité
La journée s’est conclue sur un atelier organisé par des agent.e.s Sismic, qui se veut être une activité permettant de mettre en place des projets selon un modèle collectif, qui corresponde aux valeurs des participant.e.s et qui a un impact direct et réel dans la collectivité. Cet atelier a également pour but d’imaginer et co-construire un projet d’entrepreneuriat pour sa communauté. C’est une activité qui s’est faite en petits groupes, où tous les participant.e.s étaient réuni.e.s autour de différentes tables et où ils discutaient et échangeaient sur des sujets d’actualité et qui les concernaient. Il y avait, par exemple, une discussion sur l’implication des jeunes dans les milieux de travail, mais aussi comment attirer ces derniers.
Le travail d’équipe a été fructueux. Cela a permis de lancer le défi pour la prochaine édition du colloque, soit de vouloir pousser les projets développés en groupe, plus loin qu’une simple activité, vers le concret. C’est dans une ambiance détendue et dans une atmosphère propice au développement de grandes idées que la journée s’est terminée. Ceux et celles qui ont organisé l’évènement ainsi que ceux et celles qui ont participé ont été grandement satisfait.e.s du colloque et ont même affirmé qu’ils commençaient déjà à s’organiser pour le prochain.