L’AGE UQTR a rencontré, il y a environ deux semaines, la direction des communications de l’UQTR ainsi que le bureau du recteur et le secrétariat général de l’UQTR. L’administration s’est montrée ouverte à ce que des événements comme ceux du 7 septembre 2022 ne se reproduisent plus. Rappelons qu’à cette date, des candidats de Québec solidaire aux élections s’étaient vu interdire de distribuer des tracts et de faire signer une pétition.
Deux politiques
Deux politiques distinctes s’entrecroisent présentement pour mener à ce type d’interdiction : une première en matière de sécurité et une seconde qui concerne l’affichage à l’université.
Toutefois, il serait présentement possible pour un candidat aux élections d’afficher à l’UQTR. Le règlement permettrait donc cette pratique, mais pas la présence de candidats aux élections.
Un plan de restructuration des politiques normatives
Selon Frédérik Borel, conseiller à l’exécutif de l’AGE, l’UQTR aurait un plan de restructuration des susmentionnées. Selon Borel, l’administration universitaire souhaiterait que la situation du 7 septembre 2022 ne se reproduise plus, la qualifiant de regrettable. Il s’agirait désormais de « trouver la ligne » (entre ce qui constituerait de la sollicitation interdite ou permise).
L’AGE UQTR a demandé à être consultée en ce qui concerne ces restructurations. À l’heure actuelle, l’UQTR n’a pas mentionné quand ce règlement sera modifié.