Depuis le début des années 90, l’Université du Québec à Trois-Rivières souhaite prioriser la recherche et la formation en santé. Plusieurs nouveaux programmes ont vu le jour en chiropratique, pratique sage-femme, podiatrie, ergothérapie et orthophonie. Ces nouvelles disciplines ont rejoint d’autres programmes touchant la santé physique, comme sciences infirmières et kinésiologie. Dès cet automne, viendront s’ajouter à cet éventail les programmes de maitrise et de doctorat en sciences biomédicales de l’Université de Montréal (UdeM) qui seront offerts en extension par l’UQTR.
L’ouverture de ces programmes s’adressera plus particulièrement aux cliniciens. Il permettra aux étudiants de premier cycle de l’UQTR, de même qu’aux étudiants en médecine du Campus de l’UdeM en Mauricie, de poursuivre des études de cycles supérieurs. Ces programmes visent la formation de chercheurs de pointe dont le champ d’études est l’être humain. Les scientifiques sont appelés à jouer un rôle de plus en plus grand en recherche médicale. La maitrise de cette science permet d’initier l’étudiant à la recherche dans le domaine du diagnostic ou de la thérapie, ou encore à la recherche fondamentale dans un milieu clinique. Quant au doctorat, il a pour objectif de former des chercheurs capables de réaliser un programme de recherche original et autonome dans un cadre multidisciplinaire comprenant de la recherche clinique, fondamentale ou épidémiologique.
«L’avènement de ces programmes stimulera l’engagement de nos étudiants dans une carrière scientifique.» – Nadia Ghazzali, rectrice de l’UQTR.
«Avec le développement soutenu des sciences de la santé à l’UQTR au cours des vingt dernières années, il devenait essentiel que notre université puisse proposer des programmes de cycles supérieurs dans ce secteur d’activité. Grâce à la collaboration de l’Université de Montréal, partenaire de longue date de notre établissement, nous pouvons maintenant offrir la maitrise et le doctorat en sciences biomédicales à l’UQTR. L’avènement de ces programmes stimulera l’engagement de nos étudiants dans une carrière scientifique, tout en contribuant à l’intensification de nos activités de recherche et de nos partenariats avec les intervenants en santé de la région», a commenté Nadia Ghazzali, rectrice de l’UQTR.


