Poésies brouillonnes et autres tentatives : Célébrer la poésie étudiante de l’UQTR

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Co-organisatrices de Poésies brouillonnes et autres tentatives
Lecture d’un poème écrit par les coorganisatrices de l’événement. De gauche à droite: Magali Boisvert, Yanika Bédard-Demers et Kelly-Ann Anglehart. Crédits: Camélia Leduc

Le mardi 7 octobre 2025, à 19 h, avait lieu la première édition de Poésies brouillonnes et autres tentatives à la Passerelle du Pavillon de la santé de l’UQTR. Ce sont une trentaine de personnes qui se sont réunies pour célébrer la poésie étudiante dans le cadre des activités du Festival international de la poésie de Trois-Rivières (FIPTR).

Le brouillon mis à l’honneur

En entrant dans la Passerelle, on remarquait les couleurs de violet et orange, soit les couleurs emblématiques de l’édition 2025 du FIPTR. Lorsque le public prenait place, chacun pouvait retrouver une boule de papier chiffonnée placée expressément pour l’événement. En effet, les trois coorganisatrices se sont prêtées au jeu de la thématique brouillonne en créant un poème à six mains, qu’elles ont lu fièrement ensemble au public. Le titre du poème était «Cadavre esquisse».

Poème Cadavre esquisse. Crédits: Camélia Leduc.

Poème Cadavre esquisse
Evelyne Gagnon, organisatrice de Poésies brouillonnes et autres tentatives
Evelyne Gagnon, professeure au département de Lettres et communication sociale et organisatrice de l’événement. Crédits: Camélia Leduc

Célébrer la poésie étudiante de l’UQTR

Evelyne Gagnon, professeure au Département de lettres et communication sociale de l’UQTR, a dirigé le projet et a assuré la coordination de l’événement. Sous sa supervision, les coorganisatrices ont voulu proposer un espace de création ludique et inclusif où la poésie étudiante pouvait s’exprimer sans contrainte. Cela s’inscrit dans une volonté de valoriser la poésie universitaire tout en tissant des liens entre les milieux académique et artistique.

Dans la programmation principale, ce sont une dizaine de poètes et poétesses issus de divers programmes de l’UQTR qui ont pris la parole au micro pour partager leurs textes. En vers ou en prose, la poésie a rayonné sous toutes ses formes, témoignant du talent de la relève littéraire universitaire.

Après les dix lectures, un entracte a eu lieu afin de permettre au public de se détendre. Les gens étaient invités à prendre un verre et des grignotines, le tout en discutant autour des textes partagés lors de la première partie.

Un micro ouvert poétique

La seconde partie de la soirée a laissé place à un micro ouvert, où plusieurs personnes du public se sont jointes aux poètes invités pour livrer leurs poèmes. Certains participants de la programmation principale sont également revenus sur scène, pour le plus grand plaisir de la salle.

public de l'événement
Public de l’événement Poésies brouillonnes et autres tentatives. Crédits: Camélia Leduc.

Partenariat avec Le Sabord

La soirée s’est conclue vers 21 h avec un tirage de deux abonnements d’un an à la revue littéraire et artistique Le Sabord, remis parmi celles et ceux ayant lu un texte durant l’événement. Les heureuses gagnantes, Léonie Meunier et Amani Mahjoub, toutes deux poétesses de la programmation principale, ont reçu leur prix sous les applaudissements chaleureux du public.

Léonie Meunier, gagnante du tirage. Crédits: Camélia Leduc.

Léonie Meunier, participante de la première édition de Poésies brouillonnes et autres tentatives

Fort du succès de cette première édition, l’événement donne déjà rendez-vous au public l’an prochain. Pour en savoir plus sur les activités du FIPTR, consultez le site juste ici.

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