Le premier Sommet étudiant en développement durable s’est déroulé les vendredi 21 et samedi 22 octobre derniers à l’Université de Sherbrooke (UdeS). L’objectif principal était d’amener les étudiants à discuter des grands enjeux autour de l’environnement. Alex Marchand, président de l’Association générale des étudiants de l’UQTR (AGE UQTR), et Mickael St-Pierre, vice-président à la vie associative et à l’environnement, y étaient.
Le sommet se concentrait sur trois thèmes principaux: comment construire le changement; zéro déchet et alimentation durable; désinvestissement et économie sociale et de partage. Les dates de l’événement ont été choisies pour concorder avec la Semaine québécoise de réduction des déchets, qui a eu lieu du 15 au 23 octobre derniers.
Le but était de «créer une fin de semaine de réflexion permettant l’échange et la discussion sur le thème du développement durable en milieu étudiant» (page Facebook de l’événement). Les organisateurs espèrent également «créer une voix étudiante forte» concernant le développement durable.
L’événement était organisé par la Fédération étudiante de l’Université de Sherbrooke (FEUS). Même s’il s’adressait principalement aux étudiants de l’UdeS, les étudiants d’autres universités avaient la possibilité d’y participer. En effet, l’une des visées de ce sommet était de mettre en contact les représentants des associations étudiantes du Québec avec des experts de l’environnement. Cela devrait permettre par la suite d’évaluer les actions environnementales déjà mises en place sur les campus universitaires du Québec, ainsi que de voir comment de nouveaux projets allant dans ce sens pourront être réalisés.
Plusieurs conférences se sont succédé au cours de la deuxième journée du sommet. Les sujets abordés étaient l’économie sociale, l’alimentation durable et l’écocitoyenneté.
«Nous avons aussi discuté des mesures de développement durable qui étaient prises par les différentes associations de niveau collégial et universitaire autour de la table. Le besoin s’est fait sentir de se réunir à nouveau pour discuter de développement durable et d’engendrer des actions collectives concrètes dans le futur» a déclaré Alex Marchand. Ce premier sommet étudiant en développement durable ne devrait donc pas être le dernier.