À 1,3 %, le taux d’inoccupation des logements à Trois-Rivières est largement sous le seuil critique de 3 %. Résultat, plusieurs ménages vivent dans un logement trop petit ou insalubre et d’autres pourraient à court terme se retrouver sans logement. Hautement préoccupés, les groupes de défense en droit du logement déplorent le fait que la ministre de l’Habitation et le gouvernement Legault refusent toujours d’admettre qu’il s’agit bel et bien d’une crise du logement. Nous avons donc cherché à rendre compte de l’état de la situation et des pistes de solution au niveau municipal.
État des lieux
«Je parle toutes les semaines à des familles avec 4 ou 5 enfants qui ne trouvent aucun logement et qui vont se retrouver dans la rue d’ici le premier juillet. Mon cri du cœur est pour ces groupes plus vulnérables qui sont déjà aux prises avec des problématiques exacerbées par la crise sanitaire», lance Carol-Ann Côté, coordonnatrice chez InfoLogis Mauricie. L’organisme a pour mission d’informer les Trifluviens et Trifluviennes locataires de leurs droits et de favoriser l’accès à un logement décent et abordable sur le territoire de Trois-Rivières.
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Tristre réalité, la sortie de covid va être compliquer je pense..