Laboratoire phonétique Molson-Boulet: Un projet pour réunir anglais et français

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Dévoilement de la plaque du laboratoire phonétique Molson-Boulet. De gauche à droite: Daniel Milot, directeur général de la Fondation de l’UQTR; Daniel Lavoie, directeur de l’École internationale de français; Me Jean Boulet, associé chez Lavery Avocats; Andrew T. Molson, président de la fondation Molson; André St-Onge, président du conseil d’administration de la Fondation de l’UQTR; Robert Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement. Photo: David Ferron
Dévoilement de la plaque du laboratoire phonétique Molson-Boulet. De gauche à droite: Daniel Milot, directeur général de la Fondation de l’UQTR; Daniel Lavoie, directeur de l’École internationale de français; Me Jean Boulet, associé chez Lavery Avocats; Andrew T. Molson, président de la fondation Molson; André St-Onge, président du conseil d’administration de la Fondation de l’UQTR; Robert Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement. Photo: David Ferron

Le 18 octobre dernier a eu lieu l’inauguration du nouveau laboratoire Molson-Boulet de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Ce projet a bénéficié des dons d’Andrew T. Molson, président de la Fondation Molson, et de Me Jean Boulet, associé chez Lavery Avocats. Ce laboratoire a pour but d’optimiser l’apprentissage d’une langue seconde, soit le français ou l’anglais.

Monsieur André Saint-Onge, président de la Fondation de l’UQTR, a profité de l’événement pour faire des liens avec la Fondation et avec l’histoire de l’université. D’un côté, cette fondation a mis sur pied la première semaine de la philanthropie se déroulant du 16 au 20 octobre et d’un autre, Me Boulet est le neveu de Gilles Boulet, premier recteur de l’UQTR. Pour Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement, cette initiative est une «excellente nouvelle», permettant non seulement d’augmenter les compétences langagières, mais aussi de favoriser le dialogue entre les francophones et anglophones.

Monsieur Molson, dont l’implication de la compagnie du même nom au sein de l’université est souvent synonyme de festivités, met l’accent sur l’aspect rassembleur du laboratoire. Le philanthrope est décrit comme un «ami des langues» par Me Boulet, qui explique également que la maîtrise linguistique s’avère essentielle dans tous les domaines professionnels et que des lacunes peuvent provoquer des handicaps sur le plan social ou économique, par exemple.

Le laboratoire sera utilisé aussi l’été pour les étudiants.es en immersion française

Le directeur de l’École internationale de français de l’UQTR, Daniel Lavoie affirme au Zone Campus que les dons ont servi notamment à financer de l’équipement de pointe, comme des logiciels de modulation vocale pour les professeurs.eures évaluant les étudiants.es. Il ajoute également que le laboratoire va être utilisé l’été, pour les étudiants.es en immersion en français.

De son côté, Égan Valentine, directeur du département des langues modernes et traduction, précise qu’un projet de moniteur.rice, où des étudiants.es accompagnent des collègues, devrait voir le jour. Il confirme aussi qu’en plus des cours offerts au local, des cases horaires sont prévues afin que les bénéficiaires puissent y accéder librement.

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