«Le communautaire c’est salutaire»: L’attrait du communautaire

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Le jeudi 23 mars dernier s’est tenue au local 1012 du pavillon Nérée-Beauchemin de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) la troisième édition de «Le communautaire c’est salutaire». Des organismes en ont profité afin de mieux se faire connaître auprès des étudiants.  

L’an dernier, les kiosques tenus par ces organismes se terminaient à midi. La journée était ensuite suivie par des conférences. Toutefois, selon Samuel Chassé-Bergeron, responsable des communications du comité organisateur et étudiant en gestion des ressources humaines, la portion avec les conférenciers revenait à «vendre la salade à ceux qui la produisent».

Cette année, les kiosques sont installés de dix heures à 14 heures, pour ensuite faire place à des tables rondes d’une dizaine de personnes, soit des intervenants du milieu communautaire, des étudiants et des professeurs. Les personnes réunies se voyaient attribuer un thème par table. Par exemple, il a été question de trouver un moyen d’attirer les jeunes vers les services offerts par les organismes.

En plus des 252 visiteurs (ce qui est au-dessus des espérances pour le comité organisateur), 39 organismes ont répondu présents pour «Le communautaire c’est salutaire». PsychoClown UQTR en faisait partie. Cet organisme sans but non lucratif (OSBL) a été fondé il y a environ quatre ans. Formé d’étudiants, ce projet vise à «transmettre de la joie» aux clientèles visées, selon Élise Désilets, coordonnatrice. Parés de costumes d’époque et d’un nez rond rouge, les bénévoles vont dans des établissements tels que les Centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHLSD).

Une journée qui permet d’élargir les horizons, mais aussi les opportunités.

Parmi les étudiants en psychoéducation qui sont allés visiter les organismes présents le 23 mars dernier, Sarah Jacques considère que l’initiative est novatrice en plus de lui offrir la chance de découvrir des OSBL. De son côté, Lydia Verrette affirme que la journée lui permet d’élargir ses possibilités pour faire du bénévolat ou des stages.

Un événement qui semble donc utile non seulement pour les organismes, mais aussi pour la communauté universitaire, qui se montre de plus en plus intéressée par l’initiative selon Samuel.

La préparation pour la quatrième édition, qui doit débuter à la prochaine session d’automne, devrait démarrer sans doute sous les meilleurs auspices.

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