Tout comme l’été qui a duré longtemps, les vacances de «Zone Campus» ont été plus longues que prévu. Mieux vaut tard que jamais ?
Parfois, le «Quand?» peut être une grosse énigme. «Quand vais-je recevoir la confirmation de mon inscription?», «Quand la réponse par rapport à ma demande de logement sera émise?», «Quand pourrais-je enfin pouvoir mettre la main sur LE livre en rupture de stock me permettant d’avancer dans la matière avant l’examen?». Que de questions! Nous savons que la réponse viendra bientôt. Mais ce bientôt, il semble un peu, beaucoup, extrêmement trop loin. C’est là qu’on pense au pire. C’est là aussi qu’on appréhende l’idée de recommencer à zéro, que tout ce qui avait été fait avant était une perte de temps.
L’expression «Tout vient à point à qui sait attendre» peut être la phrase la plus énervante à entendre lorsque le destin se prend pour le plus lent des escargots, lorsque le lièvre semble s’être cassé une patte et lorsque le pigeon voyageur s’est fait tirer dessus. Finalement, les réponses arrivent. Parfois, c’est positif; parfois, négatif. Mais tout finir par se placer malgré tout, malgré le stress et les appréhensions.
Depuis deux semaines, l’équipe de «Zone Campus» travaille comme une colonie d’abeilles afin de vous offrir un premier numéro 2016-17 tout chaud et tout frais à la fois. Les journalistes et chroniqueurs s’impatientaient d’un éventuel retour. Elles/ils ont finalement dû reprendre assez vite la plume et travailler à une vitesse supérieure au grand V, après plus de cinq mois d’arrêt.
Le journal est bel et bien de retour! Tout comme chaque étudiant(e) avec au moins deux semestres dans le corps, cette première édition de l’année scolaire en est une alliant découvertes et habitudes acquises. Les chroniques appréciées (sexualité, psychologie, actualité nationale) cohabitent avec les nouveautés (actualité internationale, chronique culturelle axée sur le monde, nouvelle formule pour l’éditorial). La même chose est à souligner également pour les journalistes. Après tout le stress, le travail acharné et les heures accumulées, nous n’avons qu’une seule envie: que vous appréciez chaque page de ce présent numéro.
Sur ce, bonne rentrée scolaire un peu en retard! On se retrouve dans deux semaines…