L’UQTR à l’international: Cap sur les Antilles

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Alexandra Caron et Jessie Boulanger, du BIR, racontent à notre collègue Caroline Bodin leur périple aux Antilles. Photo: Gracieuseté
Alexandra Caron et Jessie Boulanger, du BIR, racontent à notre collègue Caroline Bodin leur périple aux Antilles. Photo: Gracieuseté

Du 12 au 19 février derniers, deux agentes de recrutement du Bureau de l’international et du recrutement (BIR) de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) ont effectué un court mais intense séjour en Guadeloupe et en Martinique. Leur but? Représenter l’université, répondre aux questions des étudiants et les aider dans leurs démarches d’admission et d’inscription.

Travailler sous le soleil

Si travailler pour le recrutement peut signifier partir en mission à l’étranger, il n’en reste pas moins que le travail a pleinement occupé les journées d’Alexandra Caron, agente de recrutement pour le BIR, et de Jessie Boulanger, agente adjointe. «Ça frappe l’imaginaire quand on dit qu’on va sur le terrain, mais 90% de notre travail concerne du suivi de dossiers», explique madame Caron.

De 9h à 18h, les deux femmes n’ont cessé d’enchaîner les rendez-vous avec les étudiants, répondant à leurs questions et s’exprimant face à la presse. En Martinique, les agentes ont consacré deux pleines journées aux 18 rendez-vous qui les attendaient.

Une méthode bien rodée

En cinq ans, les étudiants antillais sont passés de cinq à 57 à l’UQTR. Une telle augmentation semble être due au marketing relationnel, mis en place au BIR. Il s’agit ici de ne pas se contenter d’un seul échange avec les étudiants intéressés, mais de «leur offrir le service qu’on aimerait nous-mêmes avoir si on allait à l’extérieur» explique madame Caron.

Cette stratégie de proximité passe par des webinaires, les médias sociaux, le clavardage, les suivis de courriel, mais aussi par une rencontre en tête-à-tête. L’idéal? Deux voyages aux Antilles, organisés à la session d’automne et d’hiver: «Rien n’équivaut à un contact humain, personnalisé et chaleureux, pour créer un lien de confiance», souligne l’agente de recrutement.

«Rien n’équivaut à un contact humain, personnalisé et chaleureux, pour créer un lien de confiance.» -Alexandra Caron, agente de recrutement pour le BIR.

Informer et rassurer

Les huit jours passés en territoires antillais auront permis de répondre aux différentes interrogations des étudiants: démarches administratives, choix de programme, milieu de vie, associations, activités… et bien évidemment, l’hiver québécois! Bien souvent, les adjointes retrouvent les mêmes visages curieux et intéressés: «Il n’est pas rare qu’on les rencontre cinq ou six fois: une fois au lycée, le lendemain au salon, l’an prochain avec d’autres membres».

Pour Jessie, agente adjointe et étudiante à la maîtrise en communication sociale, cette première mission internationale a été une expérience profitable, tant à sa formation qu’aux gens qu’elle a rencontrés: «Je leur parlais aussi bien en tant que recruteuse qu’étudiante, j’ai pu leur apporter un côté plus “pratico-pratique”» explique-t-elle. De plus en plus nombreux, les étudiants antillais s’inscrivent aussi bien en programme de premier cycle qu’à ceux des cycles supérieurs.

Mesdames Caron et Boulanger sont en compagnie d’étudiants de la Guadeloupe.  Photo: Gracieuseté
Mesdames Boulanger et Caron, entourées d’étudiants. Photo: Gracieuseté

Séduire les internationaux

Ericka Noc, étudiante guadeloupéenne en troisième année au baccalauréat en administration des affaires à l’UQTR, a rencontré Alexandra Caron lors de l’une de ses présentations. Si deux autres universités avaient pourtant elles aussi démarché le lycée d’Ericka, la jeune étudiante a été séduite par l’université trifluvienne. «C’est vraiment la présentation d’Alexandra qui a fait la différence», explique-t-elle.

Après sa venue au salon de l’étudiant, «les craintes [lui] ont été enlevées lors de [son] deuxième rendez-vous avec elle». La position géographique et la taille humaine de la ville de Trois-Rivières ont aussi su la séduire: «Ça ressemble à ce que je connais par chez moi», confie-t-elle. Admise, l’étudiante s’envole au Québec, excitée par l’aventure. Ses projets, aujourd’hui? «Être dans la vie active et puis peut-être revenir en maîtrise!» Mais toujours à l’UQTR, évidemment!

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