Cindy Rousseau est une jeune passionnée de communication, de théâtre et de tout ce qui entoure la culture et la création. Elle explique ici son cheminement depuis sa diplomation au baccalauréat en Communication sociale. Voici donc le court portrait d’une jeune femme qui travaille aujourd’hui à faire rayonner le milieu des arts de la scène dans la région.
Cindy a commencé avec un diplôme d’études collégiales en Arts et lettres profil théâtre au Cégep de Trois-Rivières, et le Théâtre des Gens de la place est arrivé tôt dans son parcours personnel et professionnel. «Le théâtre est une passion de longue date. J’aime l’esprit d’équipe, la créativité et le contact instantané avec le public qu’il permet», confiait-elle. C’est donc avec cette vision qu’elle a poursuivi ces études à l’université, en Communication sociale.
Elle a ensuite occupé le poste de journaliste culturelle à Radio-Canada Mauricie, pour bifurquer vers Rock Détente Mauricie en tant qu’animatrice. Plus tard, elle a travaillé comme journaliste au quotidien Le Nouvelliste. Ces diverses expériences l’ont amené à se diriger ensuite vers la diffusion des arts de la scène au sein de la Corporation de développement culturel de Trois-Rivières, et l’ont menée à Montréal au Réseau indépendant des diffuseurs d’événements artistiques unis (RIDEAU) et du Théâtre du Nouveau Monde. Au travers de cela, elle a coordonné l’équipe de La Fabrique culturelle à Télé-Québec Montréal pendant une année. Ces diverses expériences lui ont permis de revenir en région. «J’occupe actuellement le poste d’adjointe aux communications à la salle J.-Antonio-Thompson. Je suis également narratrice pigiste et comédienne», disait-elle.
«Le théâtre est une passion de longue date. J’aime l’esprit d’équipe, la créativité et le contact instantané avec le public qu’il permet.» — Cindy Rousseau
Elle a toujours privilégié le secteur culturel, comme on le remarque dans son parcours professionnel. C’est pour cette raison qu’elle a choisi d’étudier en communication sociale à l’UQTR. «L’aspect créatif est ce qui me passionne le plus dans le domaine des communications. C’est la raison pour laquelle j’ai toujours privilégié le secteur culturel».
Bien entendu, la jeune diplômée de l’UQTR a beaucoup grandi depuis sa sortie, et cela grâce aux diverses expériences vécues au sein de plusieurs milieux ou elle a pu acquérir des notions importantes. Elle se dit plus confiante de ses moyens, et surtout elle a appris à se connaître et à s’écouter au travers des choix qu’elle a faits et des choses qu’elle veut aujourd’hui réaliser.
Les communications sont partout, et ce milieu est en constante évolution, surtout avec l’expansion des réseaux sociaux. C’est avec ouverture, créativité et innovation que Cindy Rousseau aborde ce domaine. «La diffusion des arts de la scène évolue constamment et, dans le but de se faire entendre et de se démarquer, on se doit d’être inventifs et originaux dans nos approches communicationnelles auprès des différents publics», explique-t-elle. De plus, elle ajoute que le taux de fréquentation des salles de spectacles ne cesse de diminuer depuis plusieurs années, et qu’il s’agit d’un problème auquel son équipe et elle doivent faire face. Il faut donc être prêt à s’adapter, mesurer, s’ajuster et à réinventer les actions de communications pour perdurer dans le domaine, ce qui n’est pas nécessairement tâche facile.
On peut donc dire que le parcours de Cindy Rousseau, bien qu’homogène, est très diversifié. C’est intéressant de constater qu’avec un baccalauréat en communication sociale de l’UQTR, on peut œuvrer dans tous ces milieux.