Aujourd’hui directrice au développement hypothécaire dans une institution bancaire, Marie-Christine Michaud Caya est une femme brillante et accomplie qui n’a jamais baissé les bras.
Originaire de Mascouche, une banlieue de la Couronne Nord de Montréal, Marie-Christine a d’abord commencé un diplôme d’études collégiales en sciences humaines au Collège Ahuntsic, pour ensuite réaliser qu’elle préférait poursuivre ses études dans un domaine plus spécifique.
Elle a donc commencé une technique en comptabilité et gestion au Cégep de Terrebonne. C’est à ce moment qu’elle a trouvé un réelle motivation dans ses études.
L’éveil d’une passion
Après avoir longuement hésité entre la comptabilité et la finance, Marie-Christine a finalement opté pour le baccalauréat en administration des affaires, profil finance, à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). «Je voulais m’éloigner de la maison pour pouvoir me concentrer sur mes études», mentionne-t-elle en expliquant son choix d’étudier à Trois-Rivières.
«Je suis tombée en amour avec cette matière. Ce n’était même pas une corvée pour moi de tout faire les exercices et mes lectures», explique-t-elle.
C’est lors de son cours de finance, avec le chargé de cours en gestion financière Guillaume Morrissette, que la jeune étudiante se découvre une véritable passion pour la finance. «Je suis tombée en amour avec cette matière. Ce n’était même pas une corvée pour moi de tout faire les exercices puis mes lectures», explique-t-elle.
Elle a ensuite eu l’opportunité de travailler à la Banque Nationale après avoir complété son stage dans cette institution bancaire. Elle envisageait alors de poursuivre ses études en complétant un certificat en planification financière.
«Le vent a toutefois tourné, mes bons résultats m’ont lancée dans le crédit au lieu de l’épargne et j’ai obtenu le titre de directrice du développement hypothécaire. J’adore mon travail!», poursuit-elle. Déterminée, Marie-Christine est aujourd’hui une professionnelle accomplie qui fait sa marque dans le domaine du développement hypothécaire.
Une formation inoubliable
L’ambitieuse femme garde des souvenirs inoubliables de son passage à l’UQTR. En plus d’étudier à plein temps, elle devait jongler à l’époque avec un emploi afin de subvenir à ses besoins.
«La surcharge d’étude et de travaux tout en travaillant 35 heures par semaine m’a appris à optimiser mon temps dans les grandes périodes de stress comme dans des mi-sessions et des fins de session», souligne-t-elle.
«La surcharge d’étude et de travaux tout en travaillant 35 heures par semaine m’a appris à optimiser mon temps dans les grandes périodes de stress comme lors des mi-sessions et des fins de session», souligne-t-elle.
Occupant aujourd’hui un emploi qui implique des horaires variables et une rémunération à la commission, elle est amenée à gérer à la fois son agenda, le stress et les dossiers de ses clients. «Mon baccalauréat m’a appris à me surpasser. Quand on travaille fort, on peut tout atteindre», insiste-t-elle.
Le réseau de contacts qu’elle s’est créé ainsi que les liens qu’elle a faits avec plusieurs étudiants lui ont également été utiles dans son approche avec le service à la clientèle ainsi que dans sa vie personnelle. «Je suis fière de la femme que je suis devenue», annonce-t-elle fièrement.