Dans notre série de portraits mettant en lumière les officiers/officières de l’Association Générale des Étudiants (AGE), nous tournons notre attention vers la coordinatrice des communications, Anaïs Fortier. Nous avons eu l’opportunité de la rencontrer pour qu’elle partage avec nous son quotidien, son expérience et ses valeurs. Au cours de cet entretien, elle nous a fait part de son parcours lors de son premier mandat et nous a exposé les raisons pour lesquelles elle encourage vivement les étudiants à s’engager activement dans la vie étudiante.
Une progression graduelle dans la vie étudiante
Anaïs est actuellement en deuxième année dans le bac en communication sociale. Elle a précédemment travaillé au sein de la Coopsco, le magasin universitaire, et s’est activement impliquée au sein de son association de programme. Elle a notamment été chargée de rechercher des sponsors pour soutenir son association. Motivée par les encouragements de ses pairs et de ses amis particulièrement de Thibault Jousselin (ancien Secrétaire général de l’AGE), qui voyaient en elle la candidate idéale, Anaïs a décidé de se porter candidate au poste de coordinatrice des communications lors des élections précédentes.
Ancienne étudiante en danse, elle souligne que les deux domaines, malgré des apparences divergentes, partagent de nombreuses similitudes, en particulier en ce qui concerne la diffusion d’informations. La communication a toujours été une constante dans sa vie. Que ce soit dans sa vie personnelle, scolaire ou même professionnelle et semble donc qualifiée pour ce poste.
Une expérience enrichissante
Pour Anaïs, son rôle de coordinatrice des communications constitue une opportunité exceptionnelle d’explorer son domaine d’études tout en contribuant activement à la vie de la communauté étudiante. Cette expérience enrichissante confère une dimension pratique à ses études. Au quotidien, elle s’attèle à des tâches essentielles telles que la conception d’affiches, la gestion des panneaux d’affichage, l’animation des réseaux sociaux, la gestion des messages, les accords avec les partenaires internes, l’assistance aux autres associations dans leurs efforts de communication, ainsi que la réponse aux questions des étudiants concernant la vie universitaire.
En ce qui concerne les projets majeurs, il n’y a pas de projets spécifiques, car une grande partie de son temps est dédiée à rattraper le retard accumulé en raison du sous-effectif au poste précédent. Malgré les difficultés engendrées par la pandémie de COVID-19 sur la vie étudiante, Anaïs fait preuve de dévouement et de compétence pour répondre aux besoins de ses collègues de l’AGE et des étudiants et étudiantes de l’université.
Un appel à l’engagement
L’un des défis majeurs qu’elle relève est le manque d’engagement étudiant. On peut noter son projet de brigade de mobilisation, qu’elle souhaitait relancer. Ce dernier n’a malheureusement pas pu voir le jour en raison d’un manque d’effectif. Ce problème, fréquemment soulevé au sein de l’AGE, demeure une préoccupation persistante. Toutefois, Anaïs n’abandonne pas, et prévoit présenter prochainement son plan de communication pour la période 2024/2027. Elle recherche activement des étudiants désireux de rejoindre son comité, et elle insiste sur le fait qu’il ne faut pas craindre un manque de connaissances ou se sentir étranger à ce domaine en apparence complexe. Elle est convaincue que cette expérience est profondément enrichissante, riche en rencontres et en partage, et qu’elle devrait susciter l’intérêt de nombreux étudiants.
Suite à notre entretien avec Anaïs, nous pouvons confirmer qu’elle incarne une personne dynamique et accessible, alliant professionnalisme et proximité avec les étudiants.