Par Valérie Delage, chroniqueuse Environnement à la La Gazette de la Mauricie
Avez-vous déjà eu ce sentiment que, quoi que vous fassiez comme modifications de votre mode de vie pour enrayer le réchauffement climatique, c’est une goutte d’eau dans l’océan – qui n’en n’a pourtant pas besoin pour monter ? Forcément, car les gestes individuels que l’on peut poser avec la meilleure volonté sont bien insuffisants pour freiner le phénomène.
Pour m’en convaincre, je me suis amusée à calculer, sur le site du gouvernement du Québec, quelle serait mon empreinte écologique si je mettais tous les indicateurs au minimum. Résultat: je vivrais avec au moins cinq personnes dans un appartement chauffé à l’énergie renouvelable, je cuisinerais tous mes repas, sans viande, je ferais des achats responsables, je ne voyagerais pas, j’utiliserais uniquement le transport actif et je gérerais mes déchets de façon optimale. Eh bien, malgré tout ça, le site me dit: «C’est beaucoup mieux que la moyenne canadienne, mais tu peux faire mieux. Si tout le monde agissait comme toi, il nous faudrait une à deux planètes pour subvenir à nos besoins.»
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