
Ce jeudi 26 septembre, à l’Atrium C.E.U du pavillon Ringuet de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), le décanat de la recherche et de la création annonçait au cours d’une conférence la création de quatre nouvelles chaires de recherche qui viseront à s’attaquer à des enjeux de santé publique et d’environnement.
Les chaires de recherche ont été confiées à quatre chercheur.se.s de la relève, qui se sont distingué.e.s par l’excellence de leur dossier.
Patrick Bernier dirigera la chaire de recherche sur la régulation homéostatique des cellules souches et le cancer, dont l’objectif sera de définir les mécanismes qui limitent la prolifération des cellules souches constituant, postulent-ils, le plus grand facteur de risque pour développer un cancer.
Stephanie-May Ruchat, quant à elle, dirigera celle en activité physique et santé maternelle et néonatale, qui visera à étudier l’impact de l’activité physique préconception, prénatale et postnatale sur la santé maternelle, fœtale et néonatale.
Ces chaires de recherche, qui font partie de celles créées par l’UQTR, sont les premières de douze dont la création est prévue d’ici 2021.
Noémie Carbonneau dirigera pour sa part la chaire de recherche en psychologie sociale appliquée à l’alimentation, dont l’équipe aura pour mandat de développer les connaissances scientifiques au sujet des facteurs psychosociaux qui influent sur les habitudes alimentaires.
Enfin, Vincent Maire sera à la tête de la chaire de recherche en écologie fonctionnelle arctique, qui visera à mieux comprendre et prédire les communautés d’espèces végétales adaptées au froid répondent aux variations environnementales et comment elles influencent en retour la dynamique du pergélisol et du carbone du sol au sein des écosystèmes de toundra.
Ces chaires de recherche, qui font partie de celles créées par l’UQTR, sont les premières de douze dont la création est prévue d’ici 2021. Elles s’accompagneront pour leurs titulaires d’un montant de 25 000 $ pour l’avancée des travaux dans leur domaine.