Revue étudiante «Le Prométhée»: Un retour en force

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Le comité de publication du Prométhée. En haut, de gauche à droite : Baptiste Andrieu, Jason Rivest, Kevin Lampron-Drolet, Benjamin Guay, Corentin Macquet. En bas, de gauche à droite : Sarah Lapré, Nicolas Lelièvre, Chantale La Bossière. Photo : Marika Beaudry.
Le comité de publication du Prométhée. En haut, de gauche à droite : Baptiste Andrieu, Jason Rivest, Kevin Lampron-Drolet, Benjamin Guay, Corentin Macquet. En bas, de gauche à droite : Sarah Lapré, Nicolas Lelièvre, Chantale La Bossière. Photo : Marika Beaudry.

Après un an d’absence, Le Prométhée a repris ses publications au cours de la session d’hiver 2017. Cette revue gérée par des étudiants en histoire de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a pour vocation de diffuser auprès de la communauté universitaire et du milieu culturel de Trois-Rivières des textes scientifiques d’histoire écrits par des étudiants.

Créé en 2014 par des étudiants en histoire, Le Prométhée est tout d’abord principalement destiné à ces derniers, avant de s’ouvrir peu à peu aux autres branches de l’université. Deux publications ont lieu chaque année. Quelques couacs au sein du comité fondateur ont ajourné les publications pendant un an, mais le projet a été remis sur les rails à l’automne 2016.

«Il y a eu des élections au comité en septembre 2016, alors qu’on avait deux publications de retard. Tous les postes ont été pourvus, et la nouvelle équipe est très motivée», indique Corentin Macquet, responsable des communications et étudiant en gestion des ressources humaines. «Avec deux publications par session, on aura rattrapé notre retard à l’automne prochain. Le comité travaille très fort là-dessus.»

«Écrire dans «Le Prométhée», ça permet d’avoir une publication scientifique officielle, c’est un plus pour la maîtrise.» ― Corentin Macquet, responsable des communications.

«La plupart des textes qu’on reçoit sont rédigés par des étudiants de premier cycle. Ça leur permet d’avoir une publication scientifique officielle, c’est un plus pour la maîtrise, [afin de bénéficier] des bourses ou être publié dans des plus grosses revues d’histoire», explique Corentin. Néanmoins, tous les étudiants peuvent envoyer un texte, portant sur un sujet historique et ne dépassant pas douze pages: «Les textes sont notés anonymement par plusieurs évaluateurs, puis les mieux notés sont sélectionnés pour la publication.»

Le Prométhée est distribué à l’UQTR et dans plusieurs endroits culturels de Trois-Rivières. «Actuellement, on en est à 280 exemplaires, et tout part en deux jours», affirme Corentin. «On essaie de continuer à augmenter, mais on arrive à un plafond au niveau des financements». La revue, gratuite, est entièrement financée par des partenaires, parmi lesquels l’Association des étudiants en histoire (AEH) de l’UQTR.

La parution du prochain numéro est prévue d’ici la mi-avril. «Le numéro suivant devrait être prêt cet été, mais on attendra l’automne pour le publier et le distribuer aux étudiants de la nouvelle cohorte. Ça permettra de toucher plus de monde!» conclut Corentin.

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