Le 9 avril dernier avait lieu la remise des bourses d’implication de l’AGE UQTR et de la radio étudiante CFOU. C’est sous le thème beach party chic que la soirée s’est déroulée. Mathieu Roy, président, et Marie-Laurence Audet, vice-présidente aux affaires socioculturelles, ont remis les bourses pour l’AGE, tandis que Jean-Philippe Charbonneau, directeur général du Groupe des médias étudiants, a remis les bourses pour CFOU.
Treize étudiants ont reçu des bourses de la part de l’AGE UQTR pour leur implication. Les montants variaient entre 250$ et 1000$. Les prix étaient choisis en fonction du niveau d’implication des gens ayant postulé pour ces bourses. Marc-André Déziel, Catherine L’Homme, Guy Ayassi Eyebe, Alexandra Carignan, William Lamontagne, Sandra Choquet, Jason Rivest, Jérémie Gosselin, Marie-Michèle Pelletier, Ann-Julie DuRocher, Mathieu Sirois, Kevin Brasseur et Jean-François Veilleux ont été les étudiants récompensés pour leur implication au sein de la vie étudiante.
Du côté du Groupe des médias étudiants, ce sont des animateurs et des chroniqueurs bénévoles qui ont été récompensés pour leur travail. Plusieurs des émissions étaient des nouveautés de cette année et se sont distinguées par leur popularité et leur concept original. La chroniqueuse Alexandra Carignan (Assemblage Requis, Le Diner de cons) et les émissions Co-naitre ensemble, Génie en liberté, Raconte-moi ta ville, À vos micros, À livre ouvert, Les Mâles honnêtes et Les Précieuses ridicules ont été les récipiendaires des bourses de cette année.
Évènement de l’année
L’AGE UQTR profite de la soirée de remise des bourses d’implication pour aussi nommer l’évènement de l’année. Celui-ci a été remis à la soupe populaire, une initiative de trois étudiantes, soit Véronique Veilleux, Catherine Charbonneau et Frédérique Chevarie. Elles ont donc vu leur activité ajoutée sur le trophée qui est exposé en permanence dans les bureaux de l’AGE UQTR.
Les animateurs de la soirée ont invité les étudiants qui avaient envie de s’investir dans de nouveaux projets à le faire, car c’est de cette façon que la vie étudiante peut continuer à être stimulante.