
Zone Campus poursuit sa série de textes portant sur l’équipe de l’AGE-UQTR. Ces portraits nous permettront d’en apprendre davantage sur ses membres, mais aussi de connaître leur point de vue sur différents enjeux. Aujourd’hui, nous faisons connaissance avec sa vice-présidente aux communications Jade Hubert.
Le rôle de la vice-présidente aux communications est «de développer les moyens de communication de l’association et d’assurer une bonne communication entre l’AGE UQTR et les étudiants.» Toutefois, la V.P. se compare plutôt à «une agence de spam».
Devant s’occuper de l’affichage des informations envoyées par les membres de l’AGE UQTR ou par les partenaires internes/externes, elle s’assure de la diffusion de celles-ci auprès de la communauté étudiante. À l’occasion, la V.P. doit aussi négocier les ententes de visibilité avec les partenaires de l’AGE.
« Je fais le pont entre la communauté étudiante, l’AGE et les partenaires. »
Jade Hubert
La jeune femme, originaire de Rawdon dans Lanaudière, avoue s’être découvert une nouvelle passion en s’impliquant au sein de l’AGE UQTR. Constatant que de nombreuses personnes autour d’elle s’impliquaient, elle aussi eut envie de le faire. «Avec l’AGE, c’est d’autres enjeux et ça me permet de voir une toute autre facette de l’importance de l’implication étudiante.»
Un parcours inattendu

Celle qui a toujours eu une intérêt pour la psychologie a commencé son parcours collégial en sciences naturelles au Cégep Régional de Lanaudière à Joliette avant de réaliser que ce n’était pas pour elle: «Ma passion pour les mathématiques s’est enfuie assez rapidement. J’ai alors poursuivi en sciences humaine profil individu pour continuer dans le programme de psychologie [à l’UQTR]. Je fais également le microprogramme en sexologie dont les cours offerts comptent comme cours complémentaires.»
Elle dit en riant qu’on lui mentionne souvent qu’elle est «bizarre». Pourquoi? En plus d’être une personne créative et spontanée, Jade Hubert ne semble pas avoir peur d’exprimer ces facettes de sa personne. Que ce soit sa voiture ornée de «gougounes» ou son métier de tatoueuse, la vice-présidente se sait différente, mais cela ne l’empêche pas de bien s’intégrer auprès de ses collègues du CX. Bien qu’elle aimerait développer ses compétences de tatoueuse, elle rêve également de poursuivre ses études à la maîtrise en sexologie en concentration clinique.
Un mandat rempli de défis
La vice-présidente souligne que l’un de ses plus grands défis est «de trouver les bons mots pour informer [la communauté étudiante] de façon claire et précise.» Un autre défi serait «d’essayer de représenter et d’informer les membres de la meilleure façon possible en prenant en compte [leurs] intérêts.»
«La croissance, l’exploration, la bienveillance, l’équité et l’humilité sont au cœur d’une bonne partie de mes choix et comportements.»
-Jade Hubert
Quand on lui demande quelles sont les valeurs qui lui tiennent à cœur, la liste est longue; défendre les intérêts des étudiantEs, les soutenir, les accueillir et les informer. Sinon, dans la vie de tous les jours, Jade Hubert avance que «la croissance, l’exploration, la bienveillance, l’équité et l’humilité sont au cœur d’une bonne partie de [ses] choix et comportements».
La vice-présidente, qui serait un véritable «rayon de soleil» au sein de l’AGE UQTR, est en poste depuis le mois d’avril dernier. Pour la joindre, il suffit d’écrire au vpcomm.age@uqtr.ca.