
De gauche à droite : Léa Rancourt, Anabel Gravel Chabot, Marylène Dussaut, Marguaux Cassivi et Alice Berthe. Crédit : Gracieuseté.
Selon le communiqué de presse, l’Association générale des étudiants de l’Université du Québec à Trois-Rivières (AGE UQTR) réclame à l’administration universitaire ainsi qu’aux professeurs du programme en pratique sage-femmes de proposer des solutions aux sept étudiantes qui se sont vus refuser une reprise de leur examen qui avait lieu le 15 mars dernier, qui rappelons-le était une journée de grève votée à majorité par les membres étudiants.es de l’AGE UQTR.
La présidente de l’AGE UQTR, Amélie Trottier-Lacombe, considère cette décision comme unilatérale et inefficace étant donnée la situation de pénurie des sage-femmes au Québec. « Tout le monde est perdant dans cette situation. Nous croyons qu’un dialogue et des solutions entre les trois partis sont nécessaires » – Amélie Trottier-Lacombe.
Elle termine en mentionnant « qu’il existe déjà à l’UQTR des mesures compensatoires pour les étudiants, afin que ceux-ci puissent reprendre des examens. »