Construction d’un escalier reliant le pavillon Michel-Sarrazin avec la rue Sainte-Marguerite: Soulèvement de la communauté universitaire

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Pour l’instant, l’AEMS a réussi à collecter plus de 300 noms d’étudiants et d’employés désireux de faire changer cette situation. Photo: M. Lortie
La route à emprunter pour se rendre au pavillon Michel-Sarrazin de la rue Sainte-Marguerite est présentement un véritable problème qui mettrait en danger la sécurité des usagers. Photo: M. Lortie

Les étudiants de l’Association des étudiants du Michel-Sarrazin (AEMS) se mobilisent afin de recevoir l’appui des Services aux étudiants (SAE) dans le but de déposer au Service de l’équipement de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) un projet de construction d’un escalier reliant le pavillon Michel-Sarrazin avec la rue Sainte-Marguerite. Faisant circuler une pétition afin de collecter le plus d’appuis possible à sa cause, l’AEMS espère ainsi démontrer aux SAE que l’enjeu est réel et que les étudiants sont prêts à s’unir pour mener le projet à terme.

La route à emprunter pour se rendre au pavillon Michel-Sarazin de la rue Sainte-Marguerite est présentement un véritable problème qui met en danger la sécurité des usagers. Pour l’instant, l’AEMS a réussi à collecter plus de 300 noms d’étudiants et d’employés désireux de faire changer cette situation.

«Ce coin est mal adapté aux piétons et aux voitures», explique Francis Coutu, secrétaire à la coordination de l’AEMS. «L’hiver, la situation est encore plus problématique», poursuit-il. Plusieurs témoignages d’usagers qui ont eu un accident dans cette pente ont d’ailleurs été récoltés par l’association.

Un projet mis sur les tablettes

Photo: M. Lortie
La construction d’un escalier entre le pavillon Michel-Sarrazin et la rue Sainte-Marguerite est un projet qui a maintes fois été abordé au sein de l’UQTR. Photo: M. Lortie

La construction d’un escalier entre le pavillon Michel-Sarrazin et la rue Sainte-Marguerite est un projet qui a maintes fois été abordé au sein de l’UQTR et qui n’a jamais donné suite jusqu’à présent. En 1986, l’idée a d’abord été amenée par les étudiants qui trouvaient l’accès au pavillon à partir de la rue Sainte-Marguerite très malcommode.

 

Pour l’instant, l’AEMS a réussi à collecter plus de 300 noms d’étudiants et d’employés désireux de faire changer cette situation.

C’est en 2012, alors sous la tutelle d’Alain Fournier, directeur du Service de l’équipement de l’UQTR, que le projet refait surface. À l’époque, trois soumissions d’entrepreneurs avaient été déposées et les travaux semblaient pouvoir débuter. Les étudiants ont cependant été déçus de constater que le projet était tombé à l’eau lorsque le départ de M. Fournier fut annoncé.

Aujourd’hui, avec cette nouvelle vague d’étudiants et de membres du personnel qui se mobilisent pour le projet, l’AEMS espère que le projet pourra être mené à terme pour assurer la sécurité de tous le plus tôt possible.

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